Schizophrénie, psychose, folie...

S'y retrouver dans ces termes. Comprendre "le construit du déconstruit".

http://sites.google.com/site/psyrespirans/ Construire, ne jamais déconstruire?? ...

le questionnement de 'cette' psychose.

... ou

requête "Psyrespirans"...

et aussi requête (temporaire): compréhension de la schizophrénie (une) - Sites - Google

TEXTES

° Dans la phénoménologie de la psychose, la forclusion (terme de Lacan) ou mise-à-l'écart est d'abord une nécessité vitale qui éloigne des dénis initiaux, ceux de l'entourage, autant que celui du sujet.

Ensuite vient ou revient un temps de construction, c'est le propre de cette psychose, jusqu'à l'occurrence de (la nécessité de) la crise de folie.

La psychose est complexe, difficile à être régulée, et inscrite d'apparents paradoxes. L'accident de la crise serait (et toujours) une tentative d'arrachement radical à ce qui s'est ingéré trop loin, et dans l'absence de résolution, dans un emmêlement à un pan de structure névrotique: celle-ci attenante au milieu. On retrouve pour une part cette composante de (pseudo)névrose, pour les crise ultérieures, dans la narration du mythe propre à l'échafaudage paranoïaque. La paranoïa provoque le caractère dramatique de toute crise. Passé l'épisode de crise arrive une nouvelle donne et la nécessaire construction, salvatrice parce que (partiel) solutionnement, peut reprendre.

° Hallucinations-

Contexte de la description

La personne a la perturbante sensation d'entendre "des voix" (c'est donc le langage ou un des langages, de la folie)... l'étendue du problème est que, quand bien même elle arrive à en parler, lui est une récurrente difficulté à passer d'une conscience de la situation à un rationnel suffisant. En psychiatrie comme en psychanalyse est admis que l'éviction de la perte amenée par le déni ancien -dont fut victime le sujet- permet de démanteler ces épiphénomènes de délire.

° Lacan énonce qu'une seule voie amène la guérison... mais examinons ce qu'est cette psychose:

L'enfant psychotique est d'emblée dans un environnement de névrose gravide ou la parole est chose non-dite, que ce fut la sienne ou celle qu'aurait pu amener l'entourage (aussi néfaste aurait-elle été, pour cette dernière, dans le perpétuel commentaire). Le fort désir qu'a l'enfant (comme tout autre) de grandir et la fascination de cette absente parole juste, lui donne la clé de son futur: supporter l'exo-structure et cultiver l'intégrité dans -et par- l'imaginaire... c'est là qu'il se retrouve, de même que c'est l'intégration entière dans le champ social qui l'accomplit, lui.