![]() Cette filiale de EDF présentée comme respectable dans les médias et capable de dissiper les éventuels soupçons des opposants. En réalité, ce n'est qu'un montage financier dans le style "World-Company", ces multinationales qui ne cherchent que les profits à deux chiffres pour leurs actionnaires. Il monte à notre nez une odeur d’Embrouille. Il nous reste deux solutions:
En réalité, notre interlocuteur est le PARC ÉOLIEN DE LA VALLÉE DE L'ASSE , une petite société écran, mandatée par EDF Energie Nouvelle pour conduire le projet. Présentation de la société. PARC ÉOLIEN DE LA VALLÉE DE L'ASSE Installée à :
La société PARC EOLIEN DE LA VALLÉE DE L'ASSE est en activité depuis plus de 7 ans. et perd de l'argent chaque année. elle est immatriculée à Nanterre, sous l'enregistrement 514 247 782 Cette société est spécialisée dans le secteur d'activité de la production d'électricité. Actuellement, le capital social de l'entreprise PARC ÉOLIEN DE LA VALLÉE DE L'ASSE est de 5 000,00 euros. EDF EN France, en tant que président, est mandataire de la société PARC ÉOLIEN DE LA VALLÉE DE L'ASSE. (Source Infogreffe.com) :Parc Eolien de la vallée de l'Asse Cette socièté à trois établissements secondaires. L'un établit à Paris la Défense. 1.
Etablissement.
Secondaire 514 247 782 00055 RCS MANOSQUE
2. Etablissement. Secondaire 514 247 782 00063 RCS MANOSQUE Toute ressemblance entre Monsieur le président et l'illustration ci dessus ne saurait être que fortuite. En voila un beau sac de nœud ! Et Monsieur le maire qui nous présente ça comme une avancée pour notre commune !!! Chercher l’erreur: La calculette est en panne.Voila notre interlocuteur, une société avec un capital de 5 000 € qui va faire des routes d’accès, installer des machines (12) à environ 1 000 000 € (1 million) pièce. Les banquiers lui prêteront car ils ont confiance dans la filiale d’une filiale d’une holding d’une société internationale. Vous savez la « World Company » et puis le grand patron sait s’y prendre avec le monde de la finance. Il est vrai qu’avec ce potentiel, l’immobilisation du montant nécessaire au démantèlement en fin de contrat d’exploitation, soit environ 10 000 000 € (10 millions) ne pose aucun problème. A ce sujet, la loi liée à l’article L553-3 du code de l’environnement auquel il est fait référence, n’a pas à ce jour de décret d’application. En cas de problème, la société mère remettra les comptes à zéro, la société locale sera fermée laissant à la collectivité locale le soin de gérer le désastre écologique comme dans le nord et en Bretagne. Ce dernier point ne nous concerne pas dirons nos élus, car dans la loi française, c’est au propriétaire du terrain d’assurer la mise en conformité. Voila qui est rassurant.
Et si vous interrogez nos élus sur cette société, dont le nom correspond exactement à l’entête du dépliant, que nous avons trouvé dans nos boites aux lettres en juillet 2013, ils sont prêts à jurer qu’il s’agit d’une coïncidence. Ils n’en savent rien. Ils ont appris le fameux « Je jure devant vous… ». Ils vous diront, comme Kaa le serpent du livre de la jungle, « Aie confiance » |
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